Au secours!
Un mot de l'éditrice
Lily Ryan, Éditrice
Rien n'est gratuit dans la vie, n'est-ce pas? Cher lecteur, le journal que vous tenez entre vos mains est le fruit d'un travail acharné et d'investissements financiers. Les gens derrière le Bulletin, ce sont vos voisins. Nous sommes vos concitoyens! Et nous ne sommes pas que des journalistes. Certains d'entre nous sont comptables, d'autres sont livreurs. Nous sommes tous des professionnels, et nous sommes tous profondément attachés à Aylmer.
La fermeture de PubliSac a réduit les options de livraison. Postes Canada est un service de distribution coûteux. Aucun journal local ne peut se permettre de payer un tel prix. Et pourtant, nous sommes toujours là!
Tout au long de l'année, nous avons économisé suffisamment d’argent pour couvrir les frais de livraison à domicile par Postes Canada pendant un mois (ainsi que les coûts liés à l’impression d’exemplaires supplémentaires, au pliage de chaque journal et à leur expédition depuis Mirabel, où se trouve l'imprimerie).
En retour, Aylmer a exprimé sa profonde gratitude. Dès la première semaine, les lettres à l’éditeur ont afflué, tout comme les appels téléphoniques, les arrêts à notre bureau, les messages sur nos réseaux sociaux et même des visites à la maison – tout cela pour nous remercier de la livraison gratuite à domicile. Au cours de la dernière année, nous avons reçu en moyenne deux lettres à l’éditeur par semaine. Dans la semaine qui a suivi la première distribution de courrier par Postes Canada, nous en avons reçu une douzaine!
La preuve que le système fonctionne est indéniable. Les lettres abordaient toutes sortes de sujets concernant Aylmer. De nouvelles réservations d’espaces publicitaires ont également été effectuées – exactement ce qu'il faut pour assurer la pérennité de ce système de distribution.
La clé pour assurer la livraison durable du journal dans tous les foyers réside entre vos mains, cher lecteur. La livraison coûte environ 5 500 $ par semaine. Par conséquent, si 1 500 personnes donnaient cinq dollars chacune par semaine, ce service pourrait être maintenu à long terme.
Cette idée vous séduit-elle? Pensez aux fausses nouvelles qui envahissent les foyers jour après jour. Quel est l'antidote à cela? Le journalisme.
Le Canada a besoin de tous les types de journalisme, y compris le journalisme local que vous offre le Bulletin. Votre journal local peut contribuer à assurer un avenir viable à la démocratie. Vous pouvez aider en donnant seulement cinq dollars par semaine!
Faites-nous connaître votre engagement par courriel à dons@bulletinaylmer en inscrivant en objet la mention « J’AIME LE BULLETIN ».
Au nom de l'équipe du Bulletin, de ceux qui n'ont pas les moyens de soutenir le journal local et de l'avenir du journalisme local, nous vous remercions.
